Christelle : mon fils est tétraplégique, je le soulage par des fellations

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Bonjour Delphine et Fabien

Je m’appelle Christelle, j’ai 43 ans, et mon fils Laurent est tétraplégique depuis un accident avec la moto que son père et moi lui avions offerte pour ses 18 ans, il y a 6 ans maintenant. Et j’ai besoin de me confier et de demander conseil à des gens qui peuvent comprendre mes problèmes et doutes car je ne sais plus vers qui me tourner étant donné la délicatesse du sujet. Alors voilà, je vous déballe tout dans cet email que j’espère que vous lirez jusqu’au bout, et désolée si c’est un peu en vrac.
Après deux ans de séjour à l’hôpital, d’opérations multiples et d’espoirs de rémission brisés, Laurent est revenu vivre à la maison. Enfin, “vivre” c’est un grand mot car il est invalide à 98% et ne supporte que la station allongée. Il passe donc son temps sur le lit médicalisé installé dans sa chambre, parle laborieusement et ne peut guère que vaguement remuer avant-bras et mains, le reste de son corps demeurant désespérément inerte. Ses soins quotidiens sont assurés par une aide-soignante qui passe à la maison une petite trentaine de minutes par jour, et le reste du temps par moi. Je dis “par moi”, car son père nous a courageusement quittés l’année dernière. L’accident de Laurent a complètement détruit notre couple, mon mari n’a jamais accepté de voir son fils dans cet état, et l’idée de passer le reste de sa vie à “s’occuper d’un légume” (selon son expression !) lui était insupportable. Magnifique exemple d’égoïsme dont sont capables certains hommes, mais bref ! Depuis deux ans, je me coltine donc seule la vie quotidienne avec mon fils handicapé, et j’ai pour ce faire dû quitter le poste de prof de français que j’occupais dans un lycée. Je suis officiellement en disponibilité de l’Education Nationale, et Laurent perçoit une pension d’invalidité, ce qui fait que nous pouvons subvenir à nos besoins. Mais notre situation n’est pas enviable pour autant : pas de moment de répit, ni de vacances possibles, toute notre vie étant tournée et organisée autour du dramatique handicap de mon fils.
Ce contexte étant posé, vous vous doutez bien que, si je vous écris, c’est à présent pour évoquer les aspects sexuels de cette situation. Auxquels je n’aurais bien sûr jamais pensé si je n’avais pas été moi-même confrontée à l’expérience de la vie quotidienne avec un jeune homme grand handicapé !
Quand il a eu son accident, Laurent n’avait jamais eu de relation sexuelle à part quelques flirts. Il était puceau, mais il est à présent âgé de 24 ans, et la sexualité est pour lui un grand sujet de préoccupation. Il a commencé à s’épancher devant moi sur le sujet il y a environ deux ans, au cours d’une soirée où nous avions regardé la télévision tous deux dans sa chambre. Nous venions de visionner “Basic instinct”, film que je n’avais jamais vu et que je ne savais pas aussi chaud car il comportait de nombreuses scènes de sexe en plus du côté polar. Bref, le film a facilement permis d’orienter la conversation sur la sexualité, sujet que Laurent souhaitait visiblement aborder avec moi depuis longtemps. Ce spectacle de toutes ces scènes de sexe débridé m’avait personnellement mise mal à l’aise, mais lui en avait été profondément remué. Et il a fini par me confier, déprimé et en larmes, qu’il préférait mourir ou être euthanasié plutôt que se résigner à ne jamais connaître l’amour et les plaisirs de la sexualité. Il était à l’âge de connaître ce type de plaisirs, on ne voyait que ça à la télé, dans les séries et sur Internet, mais lui n’y aurait jamais accès. Même la masturbation lui était impossible, malgré les envies et le besoin qu’il avait de se soulager, comme tout garçon de son âge !
Je n’ai alors su que répondre, bouleversée que j’étais par sa détresse et la sincérité de sa confession, autant que par la crudité inhabituelle de ses propos. Prise au dépourvu, je n’ai su que bredouiller de pauvres banalités qui ne l’ont bien sûr aucunement rassuré.
Evidemment, suite à cette horrible et troublante discussion, j’ai cherché à me renseigner sur la sexualité des grands handicapés. J’ai vite appris pas mal de choses, notamment qu’il existait des professionnels, des “accompagnants sexuels” agréés par l’Etat. Mais l’idée m’a rapidement déplu : pour moi, même si ces personnes sont formé(e)s pour se comporter avec respect et douceur envers les personnes handicapées, ce sont surtout des sortes de prostitué(e)s. D’autant que l’appel à leurs services est lui aussi tarifé ! Et ce sont en plus des inconnu(e)s avec lesquels il est impossible – et même interdit ! – de chercher à développer des liens affectifs. Car bien sûr j’aurais préféré que mon fils puisse développer une vraie relation avec une femme, plutôt que d’avoir recours à ses “simples” services sexuels moyennant rémunération.
J’ai ensuite moi-même passé pour lui quelques annonces sur des sites de rencontres, expliquant son handicap et espérant qu’une jeune femme pourrait avoir la gentillesse de s’intéresser à lui. J’y croyais un peu, car malgré sa situation Laurent conserve un beau visage aux traits fins et réguliers, avec des grands yeux au regard gentil, et j’avais mis de beaux portraits de lui. Mais nada, personne n’a jamais répondu !
Plus tard, alors que je suis au désespoir de trouver une solution, et que Laurent me parle de plus en plus de son désir irrépressible et obsessionnel de connaître au moins un peu la sexualité, je tombe sur le témoignage d’une mère sur un forum de parents handicapés. Celle-ci avait la même opinion que moi sur les “accompagnants sexuels”, était dans le même état de doutes et d’impuissance que moi, et elle affirmait avoir fini par résoudre le problème en masturbant elle-même son propre fils ! Ce témoignage me scotche, d’autant plus que Laurent commence à me demander la même chose depuis quelques semaines, devenant de plus en plus insistant. Il me dit en effet qu’il pourrait se contenter de la masturbation, que ma main de femme lui suffirait à lui permettre de se soulager de son trop plein d’énergie sexuelle, et que d’ailleurs je m’occupe déjà de son sexe quand je lui fais sa toilette matinale. Ce qui est exact, car effectivement je procède de temps à autre moi-même au lavage de ses parties génitales, notamment au cours de la toilette matinale du week-end ou quand l’aide-soignante n’est pas disponible. Mais mes gestes sont toujours furtifs, purement hygiéniques et naturellement jamais insistants.
Bref, après avoir refusé de nombreuses fois, je me décide un soir à céder à son désir. Ca me prend comme ça, alors que je suis devant le miroir de la salle de bain à procéder à mes ablutions d’avant coucher. Le témoignage de la femme du forum me revient à l’esprit, je l’ai lu plusieurs fois et j’y pense souvent, et je décide ce soir-là de m’en servir comme alibi. Je vais dans la chambre de Laurent et lui parle du témoignage de cette maman. C’est vrai, lui dis-je, certaines mères se résolvent parfois à masturber leur fils handicapé pour l’aider à se soulager puisqu’il n’y a pas d’autre solution. Alors allons-y, essayons puisqu’il le désire tant ! Je lui demande juste de tout faire pour ne pas me considérer comme sa mère dans ces instants. Juste comme une femme qui procède à son soulagement. Et je lui demande de fermer les yeux pour ne pas regarder.
Je suis bien sûr terriblement gênée et mal à l’aise, mais je m’efforce de n’en rien montrer. Mettant ma dignité de mère de côté, je m’assois au bord de son lit tandis qu’il se cale contre son oreiller et ferme les yeux. Dans la foulée, j’empoigne son pénis. Laurent est bien entendu totalement surpris de cette initiative à laquelle il ne croyait plus, mais surtout fou de joie et d’excitation. Son pénis se tend instantanément comme un arc, et je lui procure cette tant désirée masturbation, d’un geste rapide que je rends aussi technique et désintéressé que possible. Et il jouit rapidement après quelques allées et venues à peine.
N.B : la chose m’a d’ailleurs toujours étonnée : il est tétraplégique, paralysé de haut en bas, mais j’ai depuis longtemps constaté qu’il est capable de belles érections. Je feignais toujours de ne pas y prêter attention lors de la toilette, plaisantant parfois avec lui sur le côté mécanique de la chose, mais je m’étonnais intérieurement de ce petit miracle.
Bref, ensuite l’habitude de la masturbation s’installe, et j’accepte de le soulager sur la base d’un planning que j’établis et fixe strictement : une fois par semaine, le samedi soir avant de dormir, pas plus. Il est désormais plus long à venir, et bien sûr, comme c’était prévisible, il en veut bientôt plus. Et pourquoi pas aussi une fellation, s’il te plaît ?
Alors, je vous passe les détails, mais là encore je finis par céder au bout de quelques semaines de demandes incessantes de sa part. Aujourd’hui, je masturbe donc mon fils une fois par semaine, et lui fais dans la foulée une fellation afin qu’il se soulage de son trop plein d’énergie sexuelle. Je reçois son sperme en bouche et l’avale, sans doute pour lui démontrer que rien en lui ne me dégoûte malgré son handicap, ce qui le comble d’autant plus. De mon côté, j’apprends au fil du temps à surmonter mes appréhensions et inhibitions initiales, et je ne vois aujourd’hui plus guère de mal à donner à mon fils un aperçu des plaisirs du sexe. D’autant que son attitude face à la vie a beaucoup changé depuis ces petites activités sexuelles : je ne le vois plus dépressif à broyer du noir, il est devenu plus serein, plus optimiste, toute idée de suicide ou d’euthanasie l’ayant quitté. Je le vois souriant, son regard est empli d’affection et d’étoiles de reconnaissance quand il me dévisage avec affection, et je me sens quant à moi bien plus détendue, débarrassée du poids de la culpabilité qui me tenaillait les premiers temps. Certes, nous faisons ensemble des choses qui ne se font habituellement pas du tout entre mère et fils, mais notre situation est très particulière : quelle personne valide peut comprendre les affres d’une mère confrontée à la misère sexuelle de son fils, et se faire une idée de ce qui peut la pousser à vouloir lui apporter un peu de bonheur et d’épanouissement sensuel ?
Nous en sommes donc là aujourd’hui, mais il nous reste à franchir un dernier cap. Vous le devinez sans doute, Laurent souhaite à présent me pénétrer sexuellement. Et bien sûr je m’y refuse encore. Certes, je l’ai dépucelé par l’usage de ma main et de ma bouche sur son pénis, et lui ai donné un aperçu des plaisirs de la sexualité, mais l’autoriser à pénétrer mon vagin me semble bien plus transgressif. Comme je le lui explique sur le ton de la plaisanterie assez nerveuse, c’est après tout de là qu’il est sorti tout bébé, et il n’a normalement aucune raison d’y retourner ! Mais il persiste à argumenter qu’il ne me voit jamais comme sa mère pendants mes masturbations-fellations, seulement comme une femme, et que je suis la seule femme au monde dont il puisse espérer attirer l’attention.
Gros dilemme donc. Dans le fond, au point où nous sommes parvenus, je ne suis pas opposée à l’idée. Pratiquement, cela peut se faire aisément, je n’ai qu’à grimper sur son lit et le chevaucher en procédant délicatement, dans la position d’Andromaque quoi !
J’ai juste un peu peur de la suite : nous serons alors véritablement devenus des amants avec tout ce que cela implique, bien au delà de la relation mère-fils. Celle-ci va dès lors inévitablement s’en trouver considérablement modifiée, et l’idée de me lancer dans l’inconnu me paralyse et m’effraie à la fois. Bien entendu, personne n’en saura jamais rien, surtout pas dans notre famille, ce sera notre secret. Mais quid des limites à fixer ? Laurent ne me verra-t-il plus que comme sa petite amie et maîtresse plutôt que comme sa mère ? Devrai-je céder à tous ses désirs chaque fois qu’il aura envie de mon corps ? Et moi, peut-être que j’y trouverai mon compte, prendrai du plaisir ? Et alors, jusqu’où accepter d’aller dans nos futurs jeux sexuels ? Dois-je mettre des limites, ou me lâcher librement avec lui comme je le ferais avec un amant ? Car si Laurent me jure toujours ne me considérer que comme une femme parmi d’autres dans ces instants si particuliers, pour moi il reste d’abord et avant tout mon fils !
Bref, même si la pénétration sexuelle n’a pas encore eu lieu, et même si mon fils me jure ne pas me voir ainsi, je ne peux que me rendre à l’évidence : je suis devenue une mère incestueuse. Je ne me raconte pas d’histoire, je suis obligée d’assumer car c’est ainsi que les choses se nomment. Et c’est d’ailleurs ainsi que je suis tombée sur votre site, en tapant des mots clés en rapport avec l’inceste mère-fils. L’aspect pornographique ne m’intéresse pas, je ne regarde pas les vidéos, mais le fait vous vous soyiez vous-même un couple mère-fils m’a interpelée et m’intéresse au plus haut point. Alors je m’adresse surtout à Delphine : quelle est son opinion de mère incestueuse “expérimentée” sur notre histoire ? Votre relation étant visiblement de longue date, vous avez dû en passer par différentes phases auxquelles nous serons nous-même confrontés après nos premières vraies relations sexuelles. Et il m’intéresse bien sûr de les connaître. Comme de connaître les doutes, les interrogations, voire les tourments intérieurs de Delphine une fois que votre relation mère-fils a pris cette tournure sexuelle si transgressive au regard des codes moraux en vigueur dans notre société ! Est-il possible pour une mère de se débarrasser de ce vieux fond de culpabilité qui persiste malgré tout lors d’activités sexuelles avec son fils, même si je lutte pour le faire taire et ne jamais le laisser me submerger ? Car, même si je deviens l’amante régulière de Laurent, je souhaite par dessus tout que mon statut fondateur de mère continue de prévaloir dans notre vie quotidienne. Est-ce possible quand la sexualité entre mère et fils s’en mêle ? Telle est la question, comme disait Hamlet !
Merci de m’avoir lu, et espérant une réponse de votre part.
Christelle

1 thoughts on “Christelle : mon fils est tétraplégique, je le soulage par des fellations

  1. Bonjour Christelle,
    Votre histoire est très émouvante et très belle, et vous n’avez aucunement à culpabiliser d’avoir pris sur vous pour donner un aperçu du plaisir sensuel et sexuel à votre fils handicapé. Comme vous le dites, personne n’est à votre place et ne peut s’imaginer la difficulté de vivre au quotidien avec un grand handicapé, qui souffre non seulement dans sa chair, mais aussi de graves dilemmes psychologiques. Vous avez raison, le sujet est tabou comme toujours avec l’inceste mère-fils, mais de nombreuses mamans soulagent leur fils en silence et toute discrétion comme vous le faites, sans que personne ne le sache.
    J’ignore si vous êtes passée à l’acte de la pénétration sexuelle depuis votre mail. Comme vous le dites, au point où vous en êtes parvenus tous deux, la situation est mûre et cela ne sera que l’ultime étape, pas bien difficile à franchir. Vous serez alors devenu des amants complets, et oui cela changera des choses dans vos rapports quotidiens. Mais bien plus en bénéfices qu’en aspects négatifs ! Pour répondre à votre question essentielle, vous conserverez bien sûr votre statut de mère pour votre fils, il vous verra toujours comme telle et continuera de vous respecter en tant que telle, mais vos rapports intimes constitueront un plus qui décuplera votre proximité et votre complicité. Le sexe ne sera plus une simple activité de plaisir, mais un acte fusionnel d’une grande intensité entre les deux personnes les plus proches qui soient.
    Si vous ressentez du plaisir, laissez-le s’exprimer et ne vous bridez pas. Ne cherchez pas à être dans la retenue ou spécialement pudique car votre amant est votre fils. En fait, comportez-vous comme avec un mari, un compagnon, ou un amant classique. Lâchez-vous, et incitez-le à en faire de même en oubliant la nature de vos liens dans ces moments-là. Bref, prenez tous deux votre pied sans complexe et vivez vos orgasmes avec plaisir ! Et pour ce qui est de ses demandes, si elles sont nombreuses et fréquentes, libre à vous d’y répondre ou non si vous en avez envie : comme dans tout couple, le tempo de la sexualité se gère à deux, en fonction des envies communes.
    Ensuite, il y a la vie quotidienne. Elle ne changera pas beaucoup, vous continuerez à vous occuper de lui. Mais votre complicité sera désormais bien plus intense, jusque dans tous les petits gestes de votre vie. Vous verrez constamment du bonheur et de la gratitude dans ses yeux, surtout dans sa situation où nulle autre que vous ne peut tenir ce rôle de partenaire sexuelle. Au delà de vous voir comme sa mère, il vous vouera en plus une reconnaissance éternelle de tenir ce rôle d’amante généreuse et précieuse. Vous vous sentirez de votre côté valorisée, reprendrez confiance en vous et commencerez à revoir la vie en rose, autant que lui-même sans doute.
    Rassurez-vous et déculpabilisez-vous donc. Dans votre situation particulière, il n’y a que du positif à franchir, ou avoir déjà franchi, le pas. D’autant que vous dites ne pas avoir d’activité sexuelle depuis deux ans au moins que votre mari est parti : vous avez un homme à la maison en la personne de votre fils, vous vous aimez de l’amour le plus intense quoi soit, l’amour filial, il est dans la dévotion à votre égard et vous sera à jamais fidèle, vous avez donc l’amoureux et amant idéal sous votre toit ! Profitez désormais de votre nouvelle vie, et réjouissez-vous simplement, sans état d’âme ni sentiment négatif, de ces nouveaux rapports et de ces nouveaux liens instaurés entre vous. Ils ne feront que se renforcer au fil du temps, et votre couple sera indestructible.
    Quoiqu’il en soit, bravo pour votre courage et l’intensité de votre amour, et tenez-nous au courant !

    Delphine

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